5 septembre 2006

L'atelier 231


Il lui fallait bien une énième couverture à celui-là. Une sorte de parachute culturel, doré si possible aux entournures. Parce que bon, il faut bien laisser quelque chose et vu que pour le reste on retiendra surtout des bruits...
Alors en guise de toit, surtout de la façade, et derrière, des bibelots rapportés de nos vaillantes conquêtes royalo-républicaines que l'on exposerait comme son intérieur Ikéa.

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