18 septembre 2008

Trignac...gnac...gnac...


Bon, pendant qu'on Edwige à tout va sur fond d'ouragans financiers sans doute dû aux changements climatiques, courte série à Trignac. Squelette fantomatique d'une aciérie massive dont les ossements en béton armé n'en finissent plus de moisir. Un enchevêtrement de poutres, des creux vertigineux, rappellent au visiteur que les plus impressionnantes structures sont aussi des lieux de vide...Paradoxalement ces labyrinthes terrains de jeux du vent, sont souvent les plus difficiles à détruire.

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