L'autre jour des potes me racontaient la funeste aventure qui leur était arrivée alors qu'il s'en revenaient de vacances dans un bled paumé du Tarn. Chargés comme des mulasses et harassés du voyage les voilà qui se pointent à une heure fort avancée, devant leur porte d'immeuble tapant victorieusement le code d'entrée. Et alors en lieu et place du grognement classique des portes qui s'avouent vaincues, un silence de mort. Rien. Quelques essais à nouveau, rageurs, le vide. Ces fumiers avaient changé le code pendant leur absence. Enfermés dehors!
Sous ces dehors anodins cette anecdote résume :ce que nous sommes: des primates condamnés à errer à l'extérieur de quelque chose.
Sous ces dehors anodins cette anecdote résume :ce que nous sommes: des primates condamnés à errer à l'extérieur de quelque chose.
Hou la vache! C'est du lourd!Félicitations pour cette mine d'or.Aaah l'univers ferroviaire...Ca me donnerait presque envie de lire les souvenirs en train des lecteurs de TGV Magazine...
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